Guide achat responsable: optimiser la durabilité de filières agricoles

Guide achat responsable: optimiser la durabilité des filières agricoles

En intégrant des considérations de durabilité dans leurs pratiques d’achat, les entreprises acheteuses peuvent exercer une influence significative sur les chaînes d’approvisionnement en produits agricoles et contribuer à l’atténuation des impacts environnementaux et à la promotion des droits de l’homme. Voici comment.

1. Une Supply Chain agricole, c’est quoi déjà ? 

Les chaînes d’approvisionnement en produits agricoles désignent les systèmes et les processus impliqués dans la production, la transformation, la distribution et la consommation de produits agricoles. Ces chaînes d’approvisionnement englobent l’ensemble du parcours des produits agricoles, de la ferme au consommateur ou à l’utilisateur final. La chaîne d’approvisionnement en produits agricoles comprend généralement plusieurs étapes et participants, notamment les agriculteurs, les fournisseurs d’intrants agricoles (tels que les semences, les engrais et les pesticides), les producteurs agricoles, les transformateurs, les distributeurs, les détaillants et les consommateurs. Chaque étape joue un rôle crucial dans la bonne circulation des produits agricoles. Voici les principales étapes d’une chaîne d’approvisionnement en produits agricoles : 

  • Intrants et production : Cette étape implique la production de produits agricoles, y compris la culture de plantes ou l’élevage de bétail. Les agriculteurs utilisent divers intrants tels que des semences, des engrais, des pesticides, des machines et de la main-d’œuvre pour cultiver leurs terres ou élever du bétail.  
  • Récolte et traitement post-récolte : Une fois que les cultures sont prêtes à être récoltées ou que le bétail est élevé pour le marché, l’étape suivante consiste à récolter les cultures ou à préparer les animaux pour l’abattage. Les activités de manutention post-récolte telles que le tri, le classement, le nettoyage et l’emballage ont lieu pour maintenir la qualité des produits.  
  • Transformation et valeur ajoutée : Les produits agricoles subissent souvent une transformation pour les rendre plus attrayants. La transformation peut impliquer des activités telles que la mouture, le broyage, le raffinage, la mise en conserve, la congélation ou l’extraction d’huiles. La valeur ajoutée peut inclure l’emballage, l’étiquetage et l’ajout de composants nutritionnels ou fonctionnels.  
  • Stockage et entreposage : Après leur transformation, les produits agricoles peuvent être stockés dans des entrepôts ou des silos afin de préserver leur qualité et d’éviter leur détérioration. Des conditions de stockage adéquates, telles que le contrôle de la température et de l’humidité, sont essentielles pour préserver les produits jusqu’à ce qu’ils soient prêts à être distribués.  
  • Transport et logistique : Les produits agricoles doivent être transportés des zones de production aux installations de transformation, aux centres de distribution et, enfin, aux détaillants ou aux consommateurs. Les méthodes de transport peuvent être routières, ferroviaires, aériennes ou maritimes, en fonction de la distance et de la périssabilité des produits. La gestion logistique garantit l’efficacité des mouvements et minimise les pertes pendant le transit.  
  • Distribution et vente au détail : À ce stade, les produits agricoles sont livrés aux grossistes, aux détaillants ou aux prestataires de services alimentaires. Les grossistes peuvent distribuer les produits à des détaillants ou directement à des acheteurs institutionnels comme les restaurants et les hôtels. Les détaillants mettent les produits à la disposition des consommateurs dans des épiceries, des marchés de producteurs ou sur des plateformes en ligne.  
  • Consommation : La dernière étape consiste en l’achat et la consommation de produits agricoles par des particuliers ou des entreprises. Les consommateurs peuvent utiliser les produits à des fins de consommation personnelle, de transformation industrielle ou de valorisation.  

Tout au long de la chaîne d’approvisionnement en produits agricoles, d’autres facteurs doivent être pris en compte, tels que le contrôle de la qualité, la conformité réglementaire, la traçabilité, la durabilité et la dynamique du marché. Une gestion efficace des chaînes d’approvisionnement est essentielle pour garantir la sécurité alimentaire, minimiser les déchets, optimiser l’efficacité et répondre aux demandes des consommateurs en temps voulu. 

2. La plupart des enjeux et leviers d’impacts environnementaux et sociaux résident dans ces supply chain agricoles   

Les chaînes d’approvisionnement agricole ont des répercussions importantes sur la biodiversité et peuvent avoir des effets positifs ou négatifs sur les populations des zones de production. Jusqu’à un tiers de l’empreinte carbone peut se situer dans cet espace. Les principales initiatives réglementaires exigeant des acheteurs qu’ils garantissent l’absence de déforestation et de violation des droits de l’homme (devoir de vigilance par exemple) ne peuvent être mises en œuvre que si les entreprises acheteuses s’engagent et travaillent directement avec les parties prenantes de la chaîne d’approvisionnement agricole. Il existe également une dépendance évidente à l’égard de la nature pour de nombreuses chaînes d’approvisionnement de produits largement utilisés par les gens : plus de 50 % du PIB mondial dépend de la nature et de ses services. Cette dépendance doit toutefois être mieux comprise et reflétée dans la manière dont les entreprises acheteuses peuvent relever clairement et efficacement les défis en matière d’environnement et de droits de l’homme liés à leurs propres chaînes d’approvisionnement en produits agricoles. Les chaînes d’approvisionnement en produits agricoles de base sont ainsi confrontées à plusieurs défis en matière d’environnement et de droits de l’homme. 

  • La déforestation : L’expansion de l’agriculture, en particulier pour les produits de base comme le soja, l’huile de palme et le bétail, a été l’un des principaux moteurs de la déforestation dans de nombreuses régions. Le déboisement libère du dioxyde de carbone, réduit la biodiversité, perturbe les écosystèmes et contribue au changement climatique.  
  • Pollution et épuisement de l’eau : L’utilisation de produits agrochimiques, tels que les pesticides et les engrais, peut entraîner une pollution de l’eau par ruissellement, affectant ainsi la qualité des eaux de surface et des eaux souterraines. En outre, les pratiques d’irrigation inefficaces dans l’agriculture peuvent épuiser les ressources en eau, entraînant une pénurie d’eau dans certaines régions.  
  • Dégradation des sols : Les pratiques agricoles non durables, notamment le labourage excessif, la surutilisation d’engrais et la monoculture, peuvent dégrader la qualité des sols, entraînant l’érosion, l’épuisement des nutriments et une baisse de la productivité agricole.  
  • Émissions de gaz à effet de serre : Les activités agricoles, telles que la fermentation entérique du bétail, l’utilisation d’engrais synthétiques et le brûlage des résidus agricoles, contribuent aux émissions de gaz à effet de serre, exacerbant ainsi le changement climatique.  
  • Perte de biodiversité : la conversion des habitats naturels à des fins agricoles réduit la biodiversité et perturbe les écosystèmes, entraînant la disparition d’espèces végétales et animales et la dégradation des services écosystémiques.  
  • Droits et conditions de travail : Les chaînes d’approvisionnement en produits agricoles impliquent souvent un travail à forte intensité de main-d’œuvre. De nombreux travailleurs, en particulier dans les pays en développement, sont confrontés à de mauvaises conditions de travail, à de faibles salaires, à de longues heures de travail et à l’absence de sécurité de l’emploi. Il existe également des cas de travail des enfants et de travail forcé dans certains secteurs agricoles.  
  • Droits fonciers et déplacements : L’expansion de l’agriculture à grande échelle peut entraîner l’accaparement de terres, lorsque des communautés, en particulier les populations autochtones et les petits exploitants agricoles, sont déplacées de force de leurs terres ancestrales sans compensation appropriée ni consentement.  
  • Santé et sécurité : L’exposition aux produits agrochimiques et aux pesticides présente des risques pour la santé des agriculteurs et des travailleurs agricoles. Le manque de formation adéquate, d’équipement de protection et l’insuffisance des réglementations peuvent exacerber ces risques.  
  • Accès aux ressources : Les petits exploitants agricoles sont souvent confrontés à des difficultés d’accès au crédit, aux intrants, aux marchés et à l’information, ce qui limite leur capacité à être compétitifs dans les chaînes d’approvisionnement en produits agricoles.  
  • Impacts sur les communautés : Les activités agricoles, telles que la construction de systèmes d’irrigation ou le détournement des ressources en eau, peuvent avoir un impact sur les communautés locales en modifiant les moyens de subsistance traditionnels, en affectant la sécurité alimentaire et en provoquant des conflits sociaux. 

Pour relever ces défis, il faut une collaboration entre les parties prenantes, notamment les gouvernements, les entreprises, les organisations de la société civile et les consommateurs. Ksapa combine des programmes de conseil, numériques et pratiques et organise des coalitions de parties prenantes permettant de travailler sur plusieurs initiatives telles que les certifications durables, les politiques d’approvisionnement responsable, l’amélioration des réglementations et l’investissement dans les pratiques agricoles durables. Ces initiatives contribuent à atténuer l’impact des chaînes d’approvisionnement en produits agricoles sur l’environnement et les droits de l’homme. 

4. Quel intérêt pour des acheteurs industriels de s’engager dans ces programmes traitant de leurs approvisionnements?

Nos clients chez Ksapa, basés partout dans le monde, listent spontanément la liste suivante de raisons les incitant à mobiliser des ressources et investir sur des programmes engageant leurs supply chains agricoles.

  • Atténuation des risques : Les défis liés à l’environnement et aux droits de l’homme représentent des risques importants pour les entreprises acheteuses. Ces risques comprennent l’atteinte à la réputation, le non-respect de la réglementation, les responsabilités juridiques et les perturbations dans les opérations de la chaîne d’approvisionnement. En relevant ces défis de manière proactive, les acheteurs peuvent atténuer ces risques et préserver leurs intérêts commerciaux.  
  • Engagements en matière de développement durable : De nombreuses entreprises acheteuses ont pris des engagements en matière de développement durable, de climat, d’approvisionnement responsable et de pratiques commerciales éthiques. Il est essentiel de relever les défis liés à l’environnement et aux droits de l’homme dans les chaînes d’approvisionnement agricole pour respecter ces engagements et démontrer un véritable engagement en faveur de la durabilité.  
  • Attentes des parties prenantes : Les parties prenantes, notamment les consommateurs, les investisseurs, les employés et les organisations de la société civile, attendent de plus en plus des entreprises qu’elles agissent de manière responsable et qu’elles répondent aux préoccupations environnementales et sociales. L’incapacité à relever ces défis peut entraîner une atteinte à la réputation, une perte de clientèle et une diminution de la confiance des investisseurs.  
  • Conformité juridique et réglementaire : Les gouvernements adoptent des réglementations et des lois plus strictes en matière de protection de l’environnement, de droits du travail et d’approvisionnement responsable. Les entreprises acheteuses doivent veiller à respecter ces réglementations afin d’éviter les conséquences juridiques et de conserver leur licence sociale d’exploitation. Il peut s’agir de plusieurs lois sur les droits de l’homme (Royaume-Uni, Canada, France, Allemagne, entre autres), ainsi que d’initiatives relatives à la déforestation zéro et au climat (CS3D de l’UE, CSRD de l’UE, entre autres).  
  • Responsabilité sociale et éthique : Les entreprises acheteuses ont l’obligation morale et éthique de respecter les droits de l’homme, de protéger l’environnement et d’apporter une contribution positive à la société. Relever les défis liés à l’environnement et aux droits de l’homme dans les chaînes d’approvisionnement est un élément essentiel pour assumer cette responsabilité et promouvoir des pratiques commerciales éthiques.  
  • Objectifs de développement durable (ODD) : Les objectifs de développement durable des Nations unies constituent un cadre mondial pour le développement durable. Relever les défis liés à l’environnement et aux droits de l’homme dans les chaînes d’approvisionnement agricoles contribue à la réalisation de plusieurs objectifs de développement durable, notamment l’éradication de la pauvreté et de la faim, le travail décent et la croissance économique, la consommation et la production responsables et l’action en faveur du climat.  
  • Résilience à long terme des entreprises : Les chaînes d’approvisionnement durables et responsables sont plus résistantes face aux défis environnementaux, sociaux et économiques. En relevant ces défis, les entreprises acheteuses peuvent construire des chaînes d’approvisionnement plus solides et plus résistantes, garantissant ainsi la viabilité et la compétitivité à long terme de leurs activités. 
  • Impact positif : En relevant les défis liés à l’environnement et aux droits de l’homme, les entreprises acheteuses peuvent susciter des changements positifs et contribuer au développement durable. Ils ont la possibilité d’améliorer les conditions de vie des agriculteurs et des travailleurs, de préserver les ressources naturelles, de protéger les écosystèmes et de promouvoir le bien-être social dans les communautés où ils opèrent.  

Relever les défis liés à l’environnement et aux droits de l’homme dans les chaînes d’approvisionnement en produits agricoles n’est donc pas seulement un impératif commercial. C’est aussi une responsabilité morale et éthique. En prenant des mesures proactives, les entreprises acheteuses peuvent atténuer les risques, répondre aux attentes des parties prenantes, garantir la conformité et contribuer à un avenir plus durable et plus équitable. 

5. Comment les acheteurs industriels peuvent relever les défis liés à l’environnement et aux droits de l’homme dans les chaînes d’approvisionnement en produits agricoles ?

En travaillant avec Ksapa et sa suite de programmes Sutti, les entreprises acheteuses peuvent agir de plusieurs manières :

  • Transparence de la chaîne d’approvisionnement : Les entreprises acheteuses peuvent promouvoir la transparence en cartographiant leurs chaînes d’approvisionnement et en identifiant l’origine de leurs produits agricoles. Il s’agit de comprendre les exploitations agricoles, les transformateurs et les intermédiaires impliqués dans la chaîne d’approvisionnement. La transparence permet de mieux identifier les risques pour l’environnement et les droits de l’homme et facilite les interventions ciblées.
  • Engagement des fournisseurs et renforcement des capacités : Les entreprises acheteuses peuvent s’engager auprès de leurs fournisseurs, y compris les agriculteurs, les transformateurs et les autres intermédiaires, afin de promouvoir des pratiques durables. Il peut s’agir d’offrir des programmes de formation et de renforcement des capacités sur les techniques d’agriculture durable, les pratiques de travail responsables et la gestion de l’environnement. En soutenant leurs fournisseurs, les entreprises acheteuses peuvent susciter des changements positifs tout au long de la chaîne d’approvisionnement.
  • Critères d’approvisionnement durable : Les entreprises acheteuses peuvent établir et communiquer des critères de durabilité clairs pour leurs fournisseurs. Ces critères peuvent inclure des références environnementales (par exemple, absence de déforestation, conservation de l’eau, réduction de l’utilisation de pesticides), l’adhésion aux droits du travail et à des pratiques de travail équitables, et le respect des droits fonciers et des communautés locales. En fixant de telles normes, les entreprises acheteuses incitent leurs fournisseurs à adopter des pratiques durables.
  • Certification et vérification : Les entreprises acheteuses peuvent s’approvisionner en priorité auprès de programmes d’agriculture durable certifiés, tels que ceux accrédités par des organisations tierces réputées. Des programmes de certification tels que Rainforest Alliance, Fairtrade et Organic garantissent le respect des normes environnementales et sociales. Les acheteurs peuvent également soutenir les initiatives qui favorisent la traçabilité et les systèmes de vérification afin de garantir le respect des engagements en matière de développement durable.
  • Collaboration et partenariats : Les entreprises acheteuses peuvent collaborer avec leurs homologues du secteur, les organisations de la société civile et les gouvernements pour relever collectivement des défis communs. Il peut s’agir de se joindre à des initiatives multipartites, à des plateformes de développement durable ou à des tables rondes consacrées à des produits de base spécifiques ou à des questions relatives à la chaîne d’approvisionnement. En travaillant ensemble, les parties prenantes peuvent partager les meilleures pratiques, aligner les objectifs de durabilité et plaider en faveur de changements systémiques.
  • Investissements et incitations : Les entreprises acheteuses peuvent apporter un soutien financier et des incitations aux fournisseurs qui s’engagent en faveur de pratiques durables. Il peut s’agir d’une aide financière pour la mise en œuvre de techniques d’agriculture durable, d’un accès au crédit et de contrats à plus long terme qui assurent la stabilité des agriculteurs. En investissant dans la production durable, les acheteurs peuvent favoriser des relations à long terme et créer des incitations économiques pour que les fournisseurs adoptent des pratiques durables.
  • Suivi et rapports continus : Les entreprises acheteuses peuvent mettre en place de solides systèmes de suivi et d’évaluation pour contrôler les performances de leurs chaînes d’approvisionnement en matière de développement durable. Des rapports réguliers sur les indicateurs environnementaux et sociaux peuvent démontrer les progrès réalisés, identifier les domaines à améliorer et renforcer la responsabilité.
  • Éducation et sensibilisation des consommateurs : Les entreprises acheteuses peuvent sensibiliser les consommateurs aux impacts environnementaux et sociaux des chaînes d’approvisionnement en produits agricoles. Grâce à une communication et à un étiquetage transparents, les acheteurs peuvent aider les consommateurs à faire des choix éclairés et à soutenir les produits durables. Cela peut créer une demande pour des produits de base d’origine responsable et entraîner des changements positifs tout au long de la chaîne d’approvisionnement.

Les acheteurs industriels et les entreprises sont soumis à une forte pression pour démontrer leur impact positif, à la fois au niveau local et tout au long de la chaîne de valeur. Ils doivent faire preuve d’efforts concrets pour atténuer les risques socio-environnementaux et en matière de droits de l’homme liés à l’approvisionnement en matières premières.

En intégrant des considérations de durabilité dans leurs pratiques d’achat, les entreprises acheteuses peuvent exercer une influence significative sur les chaînes d’approvisionnement en produits agricoles et contribuer à l’atténuation des impacts environnementaux et à la promotion des droits de l’homme.

Conclusions

L’intérêt et l’enjeu de conformité pour les acheteurs industriels n’est pas à discuter. Aller au-delà des fournisseurs de premier rang et travailler plus en profondeur sur des territoires ou des filières engageant les premiers maillons de chaînes agricoles souvent complexes est le levier décisif générant de l’impact, de la maîtrise de risques et de la résilience. En réponse, l’objectif de Ksapa est d’avoir un impact durable à grande échelle sur les chaînes de valeur agricoles. Pour ce faire, nous avons conçu une suite de solutions, que nous avons appelée SUTTI, pour vous aider à

  1. Favoriser l’adoption de meilleures pratiques, l’augmentation des revenus, la diversification des activités et l’éducation financière des petits exploitants.
  2. Développer efficacement de tels programmes en combinant les outils traditionnels et numériques.
  3. Innover de nouveaux modèles économiques / financiers pour conduire des modèles économiques impactant à grande échelle.

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Auteur de différents ouvrages sur les questions de RSE et développement durable. Expert international reconnu, Farid Baddache travail à l’intégration des questions de droits de l’Homme et de climat comme leviers de résilience et de compétitivité des entreprises. Restez connectés avec Farid Baddache sur Twitter @Fbaddache.

Christele Delbe - Ksapa
Christèle Delbé
Directrice, Solutions d'approvisionnement responsable chez Ksapa | Autres articles

Christèle est responsable de l'engagement des entreprises en matière de solutions d'approvisionnement responsable, grâce à nos programmes SUTTI, et de conseil en matière de chaîne d'approvisionnement durable. Depuis 20 ans, Christèle a mis en place différentes initiatives permettant de faire progresser les défis sociaux et environnementaux des chaînes agroalimentaires en s’appuyant sur les leviers technologiques.

Christèle a été responsable du développement durable pendant 14 ans chez Orange puis Vodafone. Christèle s’est ainsi s'intéressée particulièrement à la manière de tirer parti des technologies pour innover et fournir des solutions évolutives en matière de droits humains, de carbone, de déchets, d'emballages, de chaînes d'approvisionnement et de consommation responsables. Au cours des 7 dernières années, Christèle s'est rapprochée encore plus des matières premières agricoles et de leurs chaînes d'approvisionnement, et a animé différents partenariats stratégiques et opérationnels multisectoriels avec Bonsucro, Danone, Diageo, GPSNR, ISEAL, PepsiCo, Producers Direct, RSPO, Tetra Pak, Unilever et Vodafone.

Christèle parle anglais, français et espagnol.

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